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Chronique d'une ronde

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8 décembre 2010

La culpabilité, cette amie de toujours...

Il y a des jours où on aimerait prendre de la distance avec certaines amies.

La culpabilité en fait partie.

En même temps, avec des amis comme ça, on n'a plus besoin de nuit, comme dirait l'autre.

Je ne sais pas pour vous, mais moi, la garce, elle me suit constamment.

Et elle a son mot à dire sur tout :
- sur la distance que j'ai prise avec ma famille, pour me protéger ;
- sur le moindre écart de nourriture ;
- sur le retard que je peux avoir dans mon boulot ;
- sur l'amour que je montre au N'homme (ce n'est jamais assez );
- sur la qualité de mon travail ;
-... J'en oublie, mais bon, vous avez compris le message !

J'aimerais trouver une recette miracle pour la faire déguerpir !

Une idée ?

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7 décembre 2010

Mots clé de la semaine

Une chose que toute blogueuse adore faire, c'est regarder les mots clé qui ont amené le lecteur lambda (si tu te reconnais, salut à toi, lecteur lambda ! ) sur le blog.

Mon blog n'est pas encore assez touffu pour avoir déjà beaucoup de mots clé référencés (genre quand tu tapes "chronique ronde", tu tombes pas sur moi, quoi). Mais, j'ai déjà eu une première requête.

Histoire de se donner un RDV hebdomadaire, disons que le mardi sera mon jour des mots clé de la semaine. ;-)

Alors, cette semaine :

- taux de jeune ayant des rapports sexuels non protégés

Alors là, je n'en ai aucune idée ! Toujours trop, sinon, il n'y aurait plus de MST... :-s

Je vous avais prévenu, pour l'instant, c'est bref ! :D

7 décembre 2010

Du plaisir de manger

Je ne veux pas perdre du plaisir de manger. Ça, je le refuse.

Je veux arriver à manger mieux tout en mangeant avec plaisir.

Il est entendu que j'éprouve du plaisir à manger une salade mais un plaisir différent de celui de manger un plat de pâtes au gratin. Il faut se rappeler une chose : l'important, c'est de trouver un équilibre sur une période de plusieurs jours. J'ai donc décidé d'utiliser une période d'une semaine.

À l'heure actuelle, il est hors de question de me passer du bonheur d'une glace au chocolat. Par contre, il ne m'est pas nécessaire d'en manger une tous les jours.

Pour atteindre cet équilibre, je devrais « programmer » ma nourriture sur ma semaine. Mais ça, c'est une étape sur laquelle je bloque encore. Soit.

Je me suis rendue compte, par ailleurs, que je ne perdais aucun plaisir à modifier certaines choses dans mon alimentation. Utiliser moins de matières grasses dans ma sauce tomate, par exemple. Utilisez du miel à la place du sucre dans mes pâtisseries. Mais, je me suis aussi rendue compte que je pouvais augmenter mon plaisir en mangeant certaines choses de manière plus importante qu'avant : en mangeant plus diversifié, je retrouve le plaisir de manger certains plats. Mais aussi, je me rends compte que j'aime plus le poisson que la viande. C'est tout bénef pour ma balance, ça.

Des petites choses qui me permettent de moins culpabiliser lorsque je m'offre des cookies ou une coupe de glace.

Et le bonus supplémentaire : je me sens mieux dans mon corps. J'ai moins d'aérophagie, moins de douleurs stomacales et intestinales. Et ça, ce n'est pas négligeable !

6 décembre 2010

Pourquoi je mange ?

Je mange. Tout le temps.

J'aime manger.

J'entendais, dans une émission, il y a très longtemps, une femme parler d'orgasme sexuel lorsqu'elle mangeait. Personnellement j'ai cherché, hein. J'ai pas trouvé l'orgasme gustatif sexuel à proprement parler.

Je veux dire : j'aime manger. Mais ce n'est quand même pas comparable à un câlin avec le N'homme.

Cela dit je pourrais me passer ni de l'un ni de l'autre. Soit.

Revenons-en au plaisir de manger avant que cela ne dégénère...

J'éprouve un réel plaisir à manger. D'abord à imaginer le goût, la texture, la consistance, le plaisir. Passer du temps à préparer ce plaisir (mais il ne faut pas que ça dure trop longtemps quand même, je n'ai aucune patience).

Vient alors le moment de passer à table. L'odeur déjà... Quel délice ! (Pour autant que l'odeur corresponde au goût. Sinon, ça me frustre et je perds tout plaisir).

Puis, vient la première bouchée. L'explosion du goût sur la langue. La texture de la bouchée dans ma bouche. J'ai une nette préférence pour les textures « lourdes » comme les cakes, les biscuits, la purée bien épaisse, etc. Idem avec la consistance, d'ailleurs. Le plaisir de mastiquer, pour redécouvrir le goût. Puis, vient le moment d'avaler. J'aime avaler (sans mauvais jeu de mots, bande pervers !). Puis, sentir la nourriture remplir mon estomac. J'aime sentir mon estomac « plein ».

La question se pose de savoir ce que représente ce « plein ».

Par association d'idées, je pense que je cherche à me sentir pleine d'amour, sans « manque ».

Mais ce n'est pas aussi simple vu que je me sens aimée par mon N'homme.

L'amour que je cherche s'apparente plutôt à de l'amour maternel... D'ailleurs, lorsque je suis chez les parents du N'homme, je mange moins !

Je me sens en sécurité lorsque je mange. Cela me rassure. Sans doute parce que ça me ramène à quelque chose de connu. Mais sans doute aussi parce que j'ai connu, dans mon enfance, des périodes de manque, de disette. J'ai connu des semaines entières à manger du pain sec et des pâtes à l'eau. J'angoisse à l'idée de revivre ça. D'ailleurs, je mange moins depuis que j'ai une réserve assez conséquente et diversifiée de nourriture dans mes armoires.

Je mange, enfin, parce que c'est vital. Souvent, je me dis qu'il serait plus simple de ne plus devoir manger du tout. Comme un fumeur qui arrête de fumer ou un alcoolique qui arrête de boire. Mais moi, je suis condamnée à manger. Simplement, je dois apprendre à manger différemment... Pas toujours évident.

3 décembre 2010

Perdre du poids ?

Cela signifie quoi, pour moi, perdre du poids ? Et mon poids, il représente quoi ?

 

C’est très complexe tout ça. Ça ne se résume pas à une phrase.

 

J’ai envie de perdre du poids et en même temps, j’en ai peur.

 

J’en ai envie d’abord parce que j’ai envie d’être comme tout le monde. Et puis, tout le monde dit que c’est mieux, alors…

 

J’en ai envie parce que je veux être et rester en bonne santé. Mon corps m’a déjà envoyé un premier signal. Mais, si je ne réagis pas, bientôt, il me lâchera. Et on a trop besoin de son corps.

 

J’en ai envie parce que j’aimerais m’habiller dans n’importe quel magasin. Ce serait tellement plus simple. Et tellement mieux pour le moral.

 

J’en ai envie parce que j’aimerais bien être plus sexy pour le N’homme. Bien sûr, il m’affirme qu’il me trouve belle, sexy, séduisante et qu’il m’aime. Et en même temps, je sens bien qu’avec quelques kilos en moins, je pourrais enfiler ces tenues sexy qui lui plaisent tant.

 

J’en ai envie, enfin, pour me sentir fière de moi. Fière d’être arrivée à me gérer, à prendre soin de moi. A m’aimer, en quelque sorte.

 

Pourtant, j’ai peur, aussi. Peur d’être mince, de perdre du poids, de me perdre, par la même occasion.

 

Une part de moi n’a pas envie d’être comme tout le monde. Je n’ai pas envie de me perdre dans la masse des gens normaux. Alors, je me perds dans ma masse à moi.

 

Et puis, mon poids, c’est une partie de ma personnalité. C’est à travers lui qu’une part de moi s’est construite. En effet, il m’a fallu apprendre à vivre avec ces kilos en trop, les quolibets qui en découlent, les frustrations de ne pas pouvoir m’habiller comme les autres, les regards de ceux qui te prennent pour une bouffeuse de Mars ®.

 

Serais-je la même si j’avais grandi sans un seul kilo en trop ?

 

Et est-ce que je saurai comment me comporter avec des kilos en moins ? Quelle attitude adopter ? Supporter le nouveau regard que l’on posera sur moi ?

 

Est-ce que ce corps sera encore le mien ? Ne me sentirais-je pas étrangère dans mon propre corps ?

 

Et en même temps, je me dis : « Qu’est-ce que ça doit être sympa de vivre dans un corps léger, qui ne souffre pas à chaque instant de ce poids qui alourdit tout ! ».

 

Et puis, s’ajoute à cela une pensée sournoise : si j’arrive à perdre ce poids et que tout va super bien, ne serait-ce pas ma preuve que j’ai été faible et nulle tout le reste de ma vie d’avant ? C’est vrai, si j’y arrive maintenant, j’aurais pu y arriver avant ! Et évidemment, le corollaire ne tarde pas : si je n’y suis pas arrivée jusqu’à maintenant, c’est que je n’y arriverai jamais !

 

Et pourtant, je sais que c’est faux. J’en ai fait du chemin pour arriver jusque là. Pour pouvoir entamer ma perte de poids.

 

En réalité, les années passées en thérapie, durant lesquels les chiffres sur ma balance n’ont pas cessé d’augmenter, ces années ont participé à ma perte de poids actuel.

 

C’est comme si j’avais des portes à ouvrir pour accéder au chemin de la perte de poids. J’en ai ouvert certaines et ça a déjà tout changé. Je ne serai plus jamais la même. Et ce qui est possible maintenant ne l’était pas forcément avant. Néanmoins, il reste encore un certain nombre de portes à ouvrir. Ce que j’espère faire en poursuivant ma thérapie, mais également via ce blog.

 

Il y a encore de nombreuses étapes à franchir.

 

Comme je le disais en début de billet, tout cela est vraiment complexe !


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2 décembre 2010

La journée contre le SIDA

La journée contre le SIDA.

 

C’était hier. Bon, j’ai un peu de retard, mais, soit.

 

Depuis hier, j’ai enfin le petit ruban rouge à épingler sur ses vêtements.

 

J’avais déjà le rose, pour la recherche contre le cancer du sein. Ça en fait un de plus à ma collection.

 

Je voudrais revenir sur certaines idées reçues que les gens (je voulais écrire jeunes, mais, non, en fait, même les moins jeunes en ont) peuvent avoir.

 

Moi-même, j’écris cet article tout rose-bisounours, mais, je n’ai jamais rencontré de personne atteinte par ce syndrome. Je ne peux donc pas affirmer que je réagirais « comme il faut ».

 

Mais, un peu d’info ne peut pas nuire.

 

Je vais aborder des points que ma petite sœur m’avait confiée il y a quelques mois (heureusement, d’ailleurs, qu’on en a parlé pour que je puisse rectifier certaines fausses mais aussi dangereuses idées).

 

D’abord, oui, le SIDA et les maladies sexuellement transmissibles peuvent s’attraper dès le premier rapport sexuel. Ma sœur pensait, naïvement, que non, la première fois, on ne risque rien. Dans le même ordre d’idées, pour elle, on ne risquait même pas de tomber enceinte, la première fois.

 

Ensuite, non, la pilule contraceptive ne protège pas contre le SIDA. Elle permet juste de se prémunir d’une grossesse (et encore, avec un taux d’efficacité qui s’approche des 100 % mais sans l’atteindre réellement). La seule façon de se protéger est d’utiliser un préservatif à chaque rapport sexuel (attention : la protection n’est pas parfaite. Mais, c’est le moyen le plus efficace connu actuellement) tant qu’on n’est pas certain que son compagnon n’est pas atteint. La seule façon d’être certain, c’est de faire un test sanguin. Mais, il est aussi essentiel d’avoir confiance en l’autre. Si l’autre va voir ailleurs, sans protection, on peut être contaminé à son tour. Vigilance, donc.

 

Non, ce n’est pas une maladie « de Noirs » ou « d’homosexuels ». Le SIDA s’attaque à tous les êtres humains, sans différence de couleur de peau, d’origine ethnique ou de préférence sexuelle.

 

Oui, on peut attraper le SIDA si on le fait « par derrière » (je cite). Le SIDA n’est pas une maladie liée au sexe mais au sang. Le fait d’avoir un rapport sexuel non protégé nous expose au risque de contamination à cause du fait que les zones sexuelles sont particulièrement irriguées et que beaucoup de sang passe par là. (Pour faire schématique).

 

Non, on ne peut pas attraper le SIDA en embrassant une personne contaminée. Ni en buvant au même verre ou en mangeant dans la même assiette. Et encore moins en respirant le même air ! Encore une fois, c’est une maladie qui s’attrape par le sang. Il n'y a donc aucune raison de traiter les personnes séropositives différemment que les autres. D'autant que souvent, elles n'ont pas demandé à être contaminées. Soyons clairs.

 

Dans la même veine, non, on ne peut pas attraper le SIDA parce qu’une personne contaminée nous crache dessus.

 

Oui, on peut attraper le SIDA autrement que par le sexe. De nombreuses personnes ont été contaminées par transfusion sanguine. Une mère séropositive peut transmettre le SIDA à son bébé. Un drogué peut attraper le SIDA en utilisant la même seringue qu’une personne atteinte par le SIDA. Les exemples sont nombreux. Mais, tant qu’il n’y a pas d’échange sexuel ou sanguin, il n’y a pas de risque.

 

Non, le SIDA ne se soigne pas encore. Il existe des traitements pour empêcher le virus de se développer ou pour soigner certains symptômes. Mais, si on attrape le virus, dans l’état actuel des choses, c’est pour la vie. Prudence, prudence !

 

J’ai fait le tour, je pense, des idées reçues de ma sœur. Mais, peut-être en existe-t-il d’autres ?

 

Et vous ? Avez-vous déjà entendu des idées reçues sur le SIDA ?

 

1 décembre 2010

Liste à Saint-Nicolas

La période de Saint-Nicolas approche.

 

Je ne sais pas pour vous, mais moi, j’ai toujours préféré Saint-Nicolas à Père Noël. Sans doute parce que le premier m’offrait des beaux jouets (bon, il se trompait souvent sur ma commande, mais, ça restait des jouets, quand même) alors que le second m’offrait… des vêtements !

 

Comme il est censé passer bientôt, il est temps de faire ma liste de Saint-Nicolas.

 

Même si je doute fortement qu’il sache lire, le Saint. Parce que le super château de Barbie avec son carrosse, Ken, et la garde-robe géante de Barbie, que je commandais pourtant chaque année, je l’attends toujours… Ou alors, il a une très mauvaise mémoire. Parce que j’ai quand même reçu une Barbie une fois. Et même un Ken. Et un poney (mais le poney avait la taille d’un chien de Barbie… Pas pratique pour tirer le carrosse…).

 

Maintenant que j’y pense, j’aurais peut-être dû lui faire des petits dessins… Il a peut-être une mémoire visuelle. En même temps, vu la qualité de mes dessins... Hum ! J’aurais même pas reçu de Barbie du tout !

 

Bref, je disais donc qu’il est temps d’écrire ma liste :


 

Cher Saint-Nicolas,

 

Cette année, j’ai été (presque) très sage. Même que j’ai pas fait beaucoup de bêtises.

 

Alors, je crois  j'espère que j’ai droit à de beaux cadeaux.

 

Comme tu seras d’office d’accord avec moi Si tu es d’accord avec moi, je te propose la liste suivante :

 

1) J’aimerais un ticket gagnant au Lotto (ou à Euro-millions, je ne suis pas difficile). Si je peux me permettre, c’est le cadeau le plus simple. Parce qu’avec ça, je pourrai m’offrir toute seule tous les supers cadeaux que je veux ! Pas mal, hein…

2) Assez d’argent sur mon compte pour pouvoir m’acheter une jolie maison. Elle doit pas nécessairement être bien grande, la maison (ou alors, je veux bien aussi assez d’argent pour me payer une femme de ménage). Mais, jolie. Et confortable.

3) J’aimerais un estomac magique qui ne digère que les calories dont j’ai besoin. Les extras, il les élimine directement. Comme ça, plus besoin de faire attention à ce que je mange (en même temps, ça me libèrerait plein de temps pour penser à autre chose qu’à ce que je mange et ça me ferait de belles économies à la longue, puisque je pourrais m’habiller dans n’importe quel magasin et plus dans les deux seuls où je trouve ma taille et dont les prix ne sont pas toujours les plus modérés).

4) Variante : je veux bien un cerveau qui arrive à s’auto-réguler niveau bouffe. Genre, il me fait manger que ce dont j’ai besoin et sans prise de tête. Mais, là, j’insiste pour garder le reste de mon cerveau intact.

5) D’ailleurs, à ce sujet, si à la place du chocolat et du massepain, tu pouvais me refiler des oranges, ce serait pas plus mal.

6) Evidemment, si tu pouvais faire en sorte que l’année qui vienne se passe bien, ce serait sympa.

 

J’espère ne pas avoir été trop exigeante.

 

Si jamais tu ne pouvais pas tout m’offrir, puis-je me permettre d’insister sur le premier dernier point ?

 

Merci d’avance, et bon voyage…

30 novembre 2010

Les bonheurs du jour

1) L’un de mes collègues a eu une petite fille aujourd’hui. Je suis super contente pour lui. (Ah, la joie du bonheur par procuration).

2) J’ai mangé une salade et du saumon fumé ce midi. Je me sens un peu (beaucoup) fière de moi d’avoir éviter le bolo bien gras ou les frites( toutes aussi grasses d’ailleurs) de la cantine de mon boulot. Et en plus, ça me permet de me recentrer un peu plus vers le point d’équilibre d’une alimentation saine, point d’équilibre un peu lointain en ce moment.

3) J’ai décidé de faire la paix avec ma maman. Oh, non, on n’était pas en guerre des tranchées. Quand même pas. Mais, nos relations sont un peu tendues. Et je trouve qu’elle a fait beaucoup d’efforts ces derniers temps. Et tout effort mérite salaire (effort / travail… L’un dans l’autre, c’est un peu pareil, non ?)

4) J’ai acheté 4 jolies cartes pour décorer mon bureau. D’accord, j’ai déjà le bureau le plus décoré de mon étage (sans doute de mon bâtiment), mais, j’ai besoin d’investir un lieu pour m’y sentir bien. Et en plus, ces 4 cartes continuent la collection que j’ai, bien involontairement, commencée.

5) Avec deux collègues, on a prévu d’aller boire un verre la semaine prochaine. C’est vraiment chouette. Ca change du « métro-boulot-ménage-télé-dodo ».

30 novembre 2010

Quelques petites précisions…

J’expliquais il y a quelques jours que pendant mes jours de congé et/ou week-end, j’avais du mal à manger de manière régulière et que je finissais bien souvent par manger « malbouffe ».


Ziyou m’a proposé la solution suivante concernant mon problème de malbouffe : en semaine, préparer des portions supplémentaires à congeler et à ressortir lorsqu’on a la flemme de cuisiner.


C’est une excellente solution que je pratiquais très souvent avant. Je ne sais pas pourquoi je ne le fais plus. Il est donc temps de m’y remettre ! :)


Elle me demandait, par la même occasion, en quoi c’était « mal » de ne pas manger aux « bonnes heures ».


Je ne connais pas la réponse « scientifique » exacte. Je ne parlerai donc que de mon ressenti en la matière.


Lorsque je mange de manière déstructurée, à savoir quand j’ai faim, je mange souvent plus et plus mal que d’ordinaire.


Je ne sais pas vraiment comment l’expliquer mais, je pense que je culpabilise quand même de manger. Alors, quand j’attends d’avoir faim pour manger, comme le dimanche, par exemple, j’attends d’avoir vraiment faim. Et souvent, lorsque je me décide à manger, j’ai tellement faim que je mangerais n’importe quoi.


Et puis, lorsque mes repas sont prévus à l’avance, à savoir la semaine, je sais ce que je vais manger et quand. Je ne dois plus me poser la question. Mais, le dimanche, je ne prévois rien (enfin, depuis deux semaines, j’essaie de prévoir, héhé), et du coup, je ne sais même pas ce que j’ai envie de manger. Et ça m’énerve. Et ça rompt l’équilibre que j’essaie de trouver sur ma semaine.


Bref, réellement, je crois que ce qui sort de tout ce que je viens de dire, c’est que je ne suis absolument pas une fille organisée en soi. Il faut que je prenne le temps d’organiser les choses, mais ça ne me vient pas naturellement. Et quand j’improvise, surtout en nourriture, je n’excelle clairement pas !

25 novembre 2010

Journée pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes

Le journée de la femme. Ou plus exactement journée internationale pour l’élimination de la violence faite aux femmes.

 

Voici un lien vers Amnesty.

 

C’est fou. L’on estime qu’en Belgique, une femme sur 8 est victime de violence familiale.

 

Ça donne vraiment des frissons dans le dos.

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